Il ne fallait pas bon être une vieille maison, à l'époque. Et même chargée de siècles, et mêmes toute empreinte d'une histoire qui remontait loin dans le temps. En fait, les vieilles maisons, pour ces générations des années cinquante ou soixante, elles n'avaient plus rien à dire. Qu'à fermer leur gueule et se laisser condamner à mort. Par démolition. Pure et simple. Sans que personne n'ait pour aucune ni considération ni regret.
C'est comme ça. Cette indifférence fait partie de l'histoire. C'est un sujet à traiter. Essayer de comprendre une mentalité.
Seul point positif, on possède tout de même pour quelques-unes des photos. Celles-ci, documents rares et précieux, permettent au moins de savoir où elles se trouvaient, la forme qu'elles avaient, et même, par le nombre des fenêtres, pouvoir imaginer quelque peu l'intérieur. Du virtuel à la place du réel. C'est mieux que rien. Bonnes visites donc à nos vieilles maisons disparues.
↓ (PDF) 105. Ils nous démontent des maisons